Makersphère : mais où est le CREPP ????

La « makersphère »

Je profite d’un schéma trouvé au gré d’une errance cybernautique (… sur le web quoi…) pour nous aider à prendre conscience de la réalité multiple de la « makersphère ». On voit ici très clairement un certain nombre de réalités différentes qui s’englobent les unes les autres :

  • le mouvement « DIY », le plus large qui regroupe toutes les activités réalisées soi-même
  • le mouvement des « makers », lui-même inclus dans le mouvement DIY (et qui donc ne s’y résume pas…) et lui-même assez large dans ses formes : aussi bien des évènements, que des individus, des projets, des lieux
  • les makerspaces, qui représentent des lieux précis de « fabrication » eux-mêmes variés dans leur formes :
    • les fablabs : lieux de fabrication numérique équipés en machines
    • les hackerspaces : lieux de « hacking », ou « bidouillage » sous toutes ses formes
    • à part les bio-hackerspace, définis par leur thématique propre

 

Le CREPP : qui qu’on est où dis-donc ???

Le CREPP est à la fois :

  • un lieu physique, donc un makerspace
  • où l’on « hack »… le mardi soir toutes les semaines en l’occurence, donc un hackerspace
  • et où l’on « fab »-brique numériquement… un peu tout le temps en fait et où l’on peut trouver des postes informatiques et quelques machines à disposition, donc un fablab sur les bords…

 

Vous l’aurez compris, le CREPP est à l’intersection du fablab « pur et dur » et du « hackerspace ». Et voici ce que çà nous donne sur ce schéma que je m’empresse donc du coup de « hacker » :

 

 

On pourrait résumer tout çà en disant que le CREPP est un « Hack-Lab » ou encore un « Hack-fab » ! Ben voilà, tout s’éclaire là…